Tous les mercredis de 8h30 à 13h
Les séances à domicile sont possibles également tous les autres jours de semaine à partir de 17h30 (dépendamment de votre adresse, je finis mon travail à l'école à 17h).
40 € / 1 heure (50 minutes de séance avec l'enfant + 10 minutes d'échange avec le parent)
Une séance par semaine, possibilité de faire une séance toutes les 2 semaines.
Paiement par espèces, chèque
Une prise en charge peut être possible par certaines mutuelles. Renseignez-vous directement auprès de votre mutuelle.
Une rééducation dure en moyenne 6 à 12 séances, selon les difficultés à rééduquer et la motivation de l'enfant En cas de troubles associés (dyslexie, trouble de l'attention avec ou sans hyperactivité, dyspraxie...) le suivi peut être un peu plus long.
Premier rendez-vous gratuit (20 minutes) : Contactez-moi par SMS ou appelez-moi directement. Nous pouvons échanger ensemble par téléphone (06 59 58 55 37) ou en directement au cabinet.
Une séance est offerte dans l'année qui suit pour s'assurer de la consolidation des acquis.
Séances de soutien à la motricité fine
La motricité fine
La motricité fine désigne l’ensemble des mouvements précis et coordonnés des petits muscles des mains et des doigts, permettant des gestes essentiels comme saisir, manipuler, écrire ou dessiner.
La motricité fine à la base de l'écriture et du dessin
La motricité fine est essentielle à l’écriture et au dessin, car elle permet à l’enfant de contrôler avec précision les mouvements de ses doigts et de sa main. Sans cette coordination, tenir un crayon, tracer des formes ou écrire de manière fluide devient difficile. C’est grâce au développement progressif de la motricité fine que l’enfant acquiert la souplesse et la force nécessaires pour manier les outils graphiques sans crispations, tout en maîtrisant la pression et la direction du geste. En renforçant cette capacité dès le plus jeune âge, on facilite un apprentissage plus harmonieux et agréable de l’écriture et du dessin.
Pourquoi soutenir la motricité fine ?
Soutenir la motricité fine chez l’enfant est essentiel, car elle lui permet de manipuler des objets avec précision, de coordonner ses gestes et de développer des compétences essentielles comme l’écriture et le dessin. En renforçant cette habileté dès le plus jeune âge, on facilite son autonomie dans des tâches quotidiennes comme boutonner ses vêtements, découper, tenir un crayon ou encore se nourrir correctement.
Si la motricité fine n’est pas suffisamment développée, l’enfant peut rencontrer des difficultés à écrire de manière fluide, à réaliser des gestes précis et à tenir correctement ses outils. Cela peut engendrer de la frustration, un manque de confiance en soi et une démotivation face aux activités graphiques ou scolaires. De plus, dans un contexte où l’usage des écrans est très présent, les occasions de manipuler des objets concrets se réduisent, ce qui peut freiner cet apprentissage naturel. C’est pourquoi il est important de proposer des activités variées qui sollicitent les doigts, les mains et les bras afin de soutenir le développement moteur et global de l’enfant.
Est-ce différent d'un suivi de psychomotricité ?
Chaque enfant a besoin d’un accompagnement adapté pour développer sa motricité fine et acquérir une aisance dans l’écriture. Je propose une approche concrète avec des exercices variés, alliant la pédagogie Montessori et d’autres activités ludiques et enrichissantes. Mon objectif est de permettre à chaque enfant de renforcer la coordination de ses doigts, de ses mains et de ses bras afin d’acquérir un geste fluide et naturel.
Contrairement à un suivi exclusivement psychomoteur, mon approche intègre directement la préparation à l’écriture, en tenant compte des besoins spécifiques de chaque enfant. À travers des jeux sensoriels, des manipulations et des exercices progressifs, je l'accompagne à écouter son corps, à prendre confiance en ses capacités et à affiner ses mouvements naturellement. Je ne le force jamais : je l’accompagne à son rythme pour qu’il découvre le plaisir de maîtriser son geste et de progresser sereinement.
Les étapes du soutien à la motricité fine

1. Un rendez-vous initial
Séance d'1h
Après un premier rendez-vous gratuit de 20 min (par téléphone ou au cabinet), je vous propose un rendez-vous initial de 1h.
Nous discutons plus en détail des difficultés et du parcours de votre enfant. Vous me présentez des bilans réalisés par son enseignant(e), des dessins ou autre qui me permettront de faire une première évaluation des besoins de votre enfant.
Puis, je propose à votre enfant des exercices de motricité fine (sous forme de jeux et activités Montessori) pour pouvoir compléter l'évaluation.

2. Les séances au cabinet
Séances d'1h
Les séances d'1 heure sont adaptées à l'âge et aux difficultés de l'enfant. Elles ont lieu chaque semaine ou toutes les deux semaines. Nous travaillons la mobilité des doigts, la posture, la tenue et l'appui des doigts sur un objet (une pince, un crayon, une paille, ...), la coordination œil-main, les tracés de préécriture (verticales, ponts, courbes,...).

3. Un entrainement quotidien à la maison
Tous les jours !
Pour garantir des progrès, un entraînement quotidien est essentiel. Je préconise que l’enfant y consacre 10 minutes chaque jour.
Je reste disponible pour vous guider et ajuster votre approche si besoin.
Quelques questions - réponses
Le développement de la motricité fine commence dès la naissance et évolue progressivement. Dès les premiers mois, les bébés explorent leur environnement avec leurs mains, qui sont de véritables outils d’intelligence leur permettant de comprendre le monde. À partir de 2 à 3 ans, ils affinent leurs gestes en manipulant des objets, en dessinant ou en utilisant des ustensiles. Entre 4 et 6 ans, cette capacité devient essentielle, notamment pour l’apprentissage de l’écriture.
L’enfant a un besoin naturel de bouger et de manipuler pour intégrer pleinement les concepts abstraits dans son corps. Il doit muscler ses doigts, ses mains et ses bras pour affiner ses gestes progressivement. Les activités manuelles, concrètes et pratiques sont donc essentielles à son développement moteur, mais aussi à son bien-être. Malheureusement, l’omniprésence des écrans aujourd’hui limite ces apprentissages et n’aide pas au développement de la motricité. C’est pourquoi il est important de privilégier des jeux et des exercices qui stimulent ses capacités motrices dès le plus jeune âge.
Si votre enfant montre peu d’intérêt pour le dessin, la pâte à modeler ou l’écriture de son prénom, il est important de comprendre pourquoi. Cela peut être dû à un manque de confiance, une difficulté motrice, un désintérêt naturel ou autre. Pour l’aider, il est essentiel de lui proposer des alternatives et à être à son écoute. Certains enfants préfèrent manipuler des objets ou tracer dans le sable avant d’aborder l’écriture, ce qui peut être un bon point de départ. Il est également important de l’encourager sans le forcer, en valorisant ses efforts plutôt que le résultat final. Un matériel adapté peut aussi faire la différence : un crayon ergonomique ou une posture plus confortable peuvent rendre l’expérience plus agréable. Enfin, relier l’écriture ou le dessin à ses passions peut éveiller son intérêt. S’il aime les voitures, lui proposer de dessiner des circuits ou d’écrire des noms de modèles peut le motiver. Si ces difficultés persistent, un accompagnement en graphothérapie peut l’aider à retrouver confiance et plaisir dans le geste d’écriture.